SENSIBILISATION DU JEUDI 12 NOVEMBRE 2015 PAR L’ONG « UNIVERSAL HELP » AU GROUPE SCOLAIRE PRIVE BILINGUE « CLIN D’ŒIL »
En prélude à la journée internationale de lutte contre le VIH/SIDA, qui se célèbre tous les 1er Décembre de chaque année, l’Organisation non Gouvernementale UNIVERSAL HELP, ONG a but humanitaire et social, dans l’optique de se mettre en communion avec l’ensemble de la communauté internationale pour célébrer ce jour , a prévu une série d’activités à travers les établissements scolaires primaires de la ville de Yaoundé.
Ces activités menées par UNIVERSAL HELP à travers les établissements scolaires consistent à faire une sensibilisation sur cette pandémie qu’est le VIH/SIDA. Le public ciblé par cette campagne de sensibilisation est constitué des élèves du primaire principalement ceux du cours Moyen Première année (C.M.I) et ceux du cours Moyen Deuxième (C.M.II), et bien sûr sans oublier le corps enseignent.
L’objectif de ces campagnes de sensibilisation est de faire comprendre aux jeunes écoliers les dangers que regorgent cette pandémie qu’est le VIH/SIDA et quelles sont les conséquences que pourraient engendrer cette maladie sur le futur et sur le devenir de notre cher pays le Cameroun, car faut-il encore rappeler c’est une réalité que la jeunesse d’aujourd’hui constitue le Cameroun de demain , et pour cela nos enfants doivent être bien éduqués mais surtout ils doivent être en bonne santé ,comme le rappelles si bien l’adage << un esprit intelligent dans un corps saint >>. Et pour les enseignants et les responsables d’établissements, l’objectif est de leur faire encore comprendre les dangers de la maladie sur le bien être économique, social, familial et surtout sur le développement de notre pays qui se veut émergent en 2035.
Ce jeudi 12 Novembre 2015, l’ONG s’est rendue dans une école primaire située dans le quartier ESSOS en l’occurrence le groupe scolaire Bilingue CLIN D’ŒIL pour marquer le début de cette campagne de sensibilisation. Après l’accueil chaleureux et convivial que l’ONG a reçu de la part de la directrice et de tout son staff administratif, les ateliers ont été directement constitués ; il y en avait 3 trois à savoir : un atelier regroupant les écoliers des classes du C.M.I et C.M.II et deux ateliers regroupant les enseignants et les formateurs ceci pour la simple raison que tous le personnel enseignant ne pouvait pas simplement être réuni au même moment, car il fallait assurer une permanence.

Après que ces dispositions aient été prises, la sensibilisation a effectivement commencé à partir de 9heures avec les écoliers qui nous ont à leur tour réservé un accueil très chaleureux, ceux-ci ont brillé durant tout l’exposé par le dynamisme et leur intérêt pour la pandémie qu’est le VIH/SIDA. Et pour leur faire comprendre très facilement les enjeux et les conséquences de cette maladie sur leur avenir, une petite histoire leur a été racontée sur deux enfants qui avaient plein de projets d’avenir mais parce qu’ils ont contracté la maladie, à la faveur des rapports précoces avec des partenaires infectés, ont vu tous leurs projets d’avenir anéantis. Après cela une série de questions leur ont été posées pour voir si effectivement le message est passé. Il leur a été prodigué des conseils visant à leur permettre de ne pas se faire contaminer (pratique de l’abstinence, non utilisation des objets souillés et tranchant tels les lames de rasoirs, seringues déjà utilisées. Un jeu de questions/réponses a ainsi permis une évaluation du niveau d’appropriation du message ainsi véhiculé. Le résultat s’est sans doute avéré très satisfaisant car, chaque écolier a été capable de répéter la quasi-totalité du message qui leur a été transmis.
A l’issue de cette première étape, il a été procédé par la suite à la sensibilisation qui ciblait le corps enseignant, au regard du contenu du message qui se voulait cette fois –ci plus dense et plus pratique. C’est ainsi qu’il a été passé en heure les différentes méthodes de prévention qui sont la non utilisation des objets souillés, le port des préservatifs, la fidélité et enfin l’abstinence.
Au terme de l’exposé qui a duré une vingtaine de minutes, il a vivement été recommandé à chaque enseignant de faire son test de dépistage afin de connaitre son statut sérologique. En effet, il convient de rappeler que cette maladie ne constitue plus une fatalité dans la mesure où la prise en charge à temps permet au malade de continuer à mener une vie normale, d’où l’intérêt du dépistage précoce.
A la fin de cet exposé, il a été distribué aux enseignants des préservatifs masculins aux hommes, et aux femmes de préservatifs féminins. Ce fut l’occasion pour la présidente fondatrice de l’ONG UNIVERSAL HELP en la personne de Dr RONG, de venir expliquer aux enseignantes l’importance du préservatif féminin et à leur montrer l’utilisation.
Après avoir échangé avec les élèves et les enseignants, une photo de famille a été prise, avec tous le corps enseignant, les élèves et le personnel de l’ONG UNIVERSAL HELP .Et enfin, l’on s’est dit tout au revoir autour d’un magnifique cocktail préparé par les soins de la présidente Fondatrice de UNIVERSAL HELP.

RAPPORT DE LA JOURNEE DE SENSIBILISATION DU JEUDI 19 NOVEMBRE 2015 PAR L’ONG « UNIVERSAL HELP » AU GROUPE SCOLAIRE BILINGUE « LE MERITE »

Dans la continuité de son activité de sensibilisation sur le VIH/SIDA, et toujours en prélude à la célébration de la journée internationale de lutte contre cette pandémie le 1er Décembre de chaque année, l’Organisation Non Gouvernementale Universal HELP marque de plus en plus sa présence dans la ville de Yaoundé a travers des campagnes de sensibilisation aux niveaux des établissements scolaires. Comme précédemment le public ciblé est constitué des élèves du primaire principalement ceux du cours Moyen Première et Deuxième année (C.MI et C.M.II), et bien sûr sans oublier le corps enseignant.
L’objectif de toutes ces activités de sensibilisation menées par cette ONG reste le même c’est-à-dire de faire comprendre aux jeunes écoliers les dangers que regorgent cette pandémie qu’est le VIH/SIDA et quelles sont les conséquences que pourraient engendrer cette maladie sur leurs futurs, celui de leurs familles et en général sur le devenir de notre cher pays le Cameroun, car faut-il encore rappeler, c’est une réalité que la jeunesse d’aujourd’hui constitue le Cameroun de demain , et pour cela nos enfants doivent être bien éduqués mais surtout ils doivent être en bonne santé . Pour les enseignants et les responsables d’établissements, l’objectif est de leur faire encore comprendre les dangers de la maladie sur le bien être économique, social, familial et surtout sur le développement de notre pays.
Après son passage la semaine dernière au groupe scolaire privé primaire bilingue « CLIN D’ŒIL » d’ESSOS, ce fut le tour cette semaine et plus précisément le jeudi 19 novembre 2015 du groupe scolaire bilingue «LE MERITE » situé au quartier FLAMENCO de Yaoundé près de du quartier MADAGASCAR, de bénéficier des bienfaits de cette campagne de sensibilisation initiée par la présidente fondatrice de l’ONG Universal Help, en la personne de Dr RONG.
A l’arrivée de l’ONG sur le site abritant l’établissement scolaire bilingue « le MERITE », et après un accueil chaleureux réservé par la directrice de la dite école, il a été pour le corps enseignant de mettre les élèves à la disposition de l’ONG tels que prévu initialement par la directrice de l’établissement. Ainsi, les élèves du Cours moyen première et deuxième année ont été regroupé dans une salle de classe, afin que puisse commencer la sensibilisation. Déjà, l’on peut d’abord souligner l’engouement des élèves lors de notre entrée en salle à travers un message de salutations en toute politesse. Puis ce fut, l’occasion pour la porte parole de l’ONG de délivrer le message proprement dit. Celui-ci a consisté dans un premier temps, a une brève introduction portant sur la présentation de la maladie et un jeu de questions-réponses pour mesurer le degré de connaissances qu’ont les élèves sur cette pandémie. L’on s’est rendu compte, malgré le fait que de nombreuses campagnes aient déjà eu lieu concernant cette maladie, beaucoup d’écoliers éprouvaient encore des difficultés à donner ne serait ce-que la signification des sigles VIH et SIDA. Problème auquel a insisté la porte parole, en donnant non seulement la signification connue de ces différents sigles, mais aussi en insistant sur le danger que représente encore cette maladie. Par la suite, une histoire hypothétique leur a été contée dans le but de mieux retenir attention. Cette dernière faisait allusion à un enfant ayant pour rêve de devenir docteur en médecine. Un jour tombé malade, ce dernier fut conduit dans un centre hospitalier où, après un dépistage, l’on s’est rendu compte qu’il soufrait du SIDA contacté à la suite de l’utilisation récurrente d’objets tranchants souillés. C’est ainsi que son rêve fût compromis. Une autre question qui a suivi l’histoire était celle de savoir si un écolier dans la salle avait un rêve également. En vérité, tous en avait un, compte tenu du nombre de doigts en l’air dans la salle. C’était là le moment de rappeler les modes de contamination du VIH (usage d’objets tranchants et souillés tels les lames de rasoirs, les seringues déjà utilisés etc., la transmission mère /enfant) et les modes de prévention (abstinence, non utilisation d’objets tranchants et souillés, fuite devant tout flatteur potentiellement violeur). Après cela, une remise de pin’s et des stylos a été faite aux méritants, à travers des questions réponses.
Au sortie de cette salle, l’ONG fut interpellé par madame la directrice, qui fut agrément satisfaite du message transmis aux élèves des cours moyens qu’elle lui demanda aussi d’en faire pour ceux des classes des cours élémentaires, ce qui fut le cas et avec un grand enthousiasme.
Puis vint le tour du corps enseignant, au cours duquel, un bref rappel des méthodes de transmissions et de prévention de la pandémie a été fait. Il a vivement été recommandé à chaque enseignant de faire son test de dépistage afin de connaitre son statut sérologique. En effet, il convient de rappeler que cette maladie ne constitue plus une fatalité dans la mesure où la prise en charge à temps permet au malade de continuer à mener une vie normale, d’où l’intérêt du dépistage précoce.
Aux termes de cet entretien il a été distribué aux enseignants des préservatifs masculins et féminins. Ce fut l’occasion pour la présidente fondatrice de l’ONG UNIVERSAL HELP en la personne de Dr RONG, de venir expliquer aux enseignantes l’importance du préservatif féminin et à leur montrer l’utilisation.
Après avoir échangé avec les élèves et les enseignants, une photo de famille a été prise, avec tous le corps enseignant, les élèves et le personnel de l’ONG UNIVERSAL HELP .Et enfin, l’on s’est dit tout au revoir autour d’un magnifique cocktail préparé par les soins de la présidente Fondatrice de UNIVERSAL HELP.

RAPPORT DE LA JOURNEE DE SENSIBILISATION DU LUNDI 23 NOVEMBRE 2015 PAR L’ONG « UNIVERSAL HELP » A L’ECOLE BILINGUE « DUMASSI »
Pour clôturer sa campagne de sensibilisation au niveau des établissements scolaires primaires de la ville de Yaoundé toujours en prélude à la célébration de la journée internationale de lutte contre le VIH/SIDA, l’Organisation Non Gouvernementale UNIVERSAL HELP a ainsi jeté son dévolu sur l’école primaire Bilingue de DUMASI sis au quartier Carrière non loin du carrefour Flamenco. Faut il encore le rappeler l’objectif de ces campagnes de sensibilisation menées par l’ ONG est resté le même c’est-à-dire de faire comprendre aux jeunes écoliers les dangers que regorgent cette pandémie qu’est le VIH/SIDA et quelles sont les conséquences que pourraient engendrer cette maladie sur leurs futurs, celui de leurs familles et en général sur le devenir de notre cher pays le Cameroun, car c’est une réalité que la jeunesse d’aujourd’hui constitue le Cameroun de demain , et pour cela nos enfants doivent être bien éduqués mais surtout ils doivent être en bonne santé . Pour les enseignants et les responsables d’établissements, l’objectif est de leur faire encore comprendre les dangers de la maladie sur le bien être économique, social, familial et surtout sur le développement de notre pays.
Après un accueil très convivial de la part du directeur de cette école et de tout son staff administratif, le moment était propice pour l’équipe de l’ONG de marquer sa présence sur les lieux en fixant la banderole portant dénomination de l’ONG et de l’école en question. Puis est venue le temps proprement de la sensibilisation. Et comme de coutume ce sont les élèves qui retiendront l’attention de l’équipe en premier lieu et ensuite les enseignants en seconde lieu.
Au niveau des élèves, il s’est agit de ceux des classes du cours élémentaire première année au cours moyen deuxième année. Cette innovation est non seulement le fait d’une suggestion du Directeur de l’école mais aussi et surtout d’un constat né de notre évolution dans l’activité de sensibilisation. Ce constat est celui selon lequel, contrairement à l’idée que la sensibilisation n’était que nécessaire que pour les écoliers ayant un niveau de compréhension ou de curiosité plus élevée, et donc qu’il fallait choisir uniquement ceux des classes du cours moyen ( 1ère et 2ème année), il était aussi nécessaire d’aller jusqu’à ceux des classes des cours élémentaires ( 1ère et 2ème année), donc le niveau de compréhension et de curiosité est non moins négligeable. Cela est sans doute le fait des nouvelles technologies de l’information et de la communication qui influencent profondément sur le comportement et la maturité d’esprits de l’homme et des enfants en particulier.
Le message adressé aux écoliers fut identique même-ci, il s’est distingué par sa qualité, car ce dernier fut un peu plus long compte tenu du nombre d’écoliers une centaine environ. Comme d’habitude tout à commencer par la clarification des concepts (VIH, SIDA) et des tests de connaissance des écoliers sur cette pandémie. Par la suite une petite histoire, la même que celle des deux premières sensibilisations leur a été compté (Cf. Le Soir N° 476 du lundi 23 Novembre 2015 Page 8). De cette petite histoire sera ainsi déduites les causes (utilisation des objets tranchants et souillés, Rapports sexuels non protégés, Transmission Mère-enfant), les conséquences (économiques, sociales et humanitaires…) et les méthodes de prévention (abstinence, Non usage des objets tranchants et souillés, prudence vis-à-vis des flatteurs inconnues) du VIH/SIDA ; tout ceci leur a été expliqué dans un langage adapté à leur niveau de compréhension. Puis, une séance de questions-réponses a permis d’apprécier le niveau d’appropriation du message ainsi transmis, ce fut une satisfaction presque totale car les écoliers dans leur grande majorité, ont été capables de restituer la quasi-totalité de ceux qui leur a été enseigné. Pour les plus méritants des pin’s leur a été accrocher sur des tenues afin qu’ils puissent véhiculer a leur tour le message à partir de ce symbole.
Au niveau du corps enseignants de l’école, le message s’est voulu plus bref, précis, concis et technique. Un rappel des méthodes de transmissions et de prévention de la pandémie a été fait. Il a vivement été recommandé à chaque enseignant de faire son test de dépistage afin de connaitre son statut sérologique. En effet, il convient de rappeler que cette maladie ne constitue plus une fatalité dans la mesure où la prise en charge à temps permet au malade de continuer à mener une vie normale, d’où l’intérêt du dépistage précoce.
Aux termes de cet entretien il a été distribué aux enseignants des préservatifs masculins et féminins. Ce fut l’occasion pour la présidente fondatrice de l’ONG UNIVERSAL HELP en la personne de Dr RONG, de venir expliquer aux enseignantes l’importance du préservatif féminin et leur montrer l’utilisation.
Après avoir échangé avec les élèves et les enseignants, une photo de famille a été prise, avec tous le corps enseignant, les élèves et le personnel de l’ONG. Et enfin, l’on s’est dit tout au revoir autour d’un magnifique cocktail préparé par les soins de la présidente Fondatrice de UNIVERSAL HELP.

UNIVERSAL HELP AU CŒUR DES POPULATIONS DU MILIEU RURAL

Promouvoir la lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme et autres maladies endémiques ; faciliter l’accès aux soins de santé aux communautés de base, c’est à cela entre autres que se déploie sur le terrain l’ONG Unipersonnelle, de la chinoise Dr RONG.
Dans le cadre de la continuité de ses activés de fin d’année 2015, cette ONG a choisi d’organiser des causeries éducatives sur la pandémie qu’est le VIH/SIDA à l’intention des populations des zones rurales et aussi, de leurs apporter des soins de santé gratuits.
Du 04 au 05 Décembre 2015, a été l’étape du village NKOL-MEPA, Département de la Lekié, Arrondissement d’OKOLA. La présidente Fondatrice et le panel d’intervenants mobilisés pour l’occasion ont entretenu hommes, femmes, jeunes du village et ses environs sur le thème : «une population en milieu rural sans sida »ce thème a été choisi par la présidente fondatrice de l’ONG, en la personne de Dr RONG.
Cette escale d’Universal help a été ponctuée par des activés telles : le jeu de questions-réponses, la distribution : des tricots, des préservatifs masculins aux hommes et aux femmes des préservatifs féminins. A travers cette campagne de sensibilisation, cette institution entend continuer à agir utilement aux côtés des pouvoirs publics à l’effet de réduire d’avantage le taux de prévalence de la maladie en territoire Camerounais.
Au- delà de la lutte contre le SIDA, Universal help pour clôturer son séjour dans ce village, a apportée des soins de santé gratuits à cette population. Le Dr RONG et l’équipe d’infirmiers qui l’accompagnaient ont reçu environ cent quarante- huit personnes : hommes, femmes, enfants du village et ses environs venus assister à cette grande opportunité de soins. Tous ont eu droit, chacun en ce qui le concerne et selon le cas, aux conseils de santé, à une consultation et aux médicaments sans aucune contrepartie à verser en retour. Tout était gratuit. Satisfait par des services reçus, a déclaré M. EBODE habitant de ce village « c’est un grand cadeau de fêtes de fin d’année qu’Universal help vient de nous faire ; car se soigner pour nous qui sommes au village n’a pas toujours été facile à cause parfois du manque de moyens financiers, nous trainons avec certaines maladies au risque d’en mourir ». Pour le Dr RONG : « mener une telle campagne en milieu rural est une nécessité au vu de la prévalence des petites bourses dans ces zones du territoire ».Dans cette étape, l’ONG compte rester fidèle à sa philosophie directrice à savoir : « Tous ensemble soyons sensibles à la situation que vivent, les diminués, les indigents, les grands malades, les orphelins, les aveugles et toutes les personnes vulnérables de notre environnement ».
